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Anatomie d'une chute

Découvrez l'époustouflant Anatomie d'une chute de Justine Triet, Palme d'Or du Festival de Cannes 2023 !


Sandra, Samuel et leur fils malvoyant de 11 ans, Daniel, vivent depuis un an loin de tout, à la montagne. Un jour, Samuel est retrouvé mort au pied de leur maison. Une enquête pour mort suspecte est ouverte. Sandra est bientôt inculpée malgré le doute : suicide ou homicide ? Un an plus tard, Daniel assiste au procès de sa mère, véritable dissection du couple.

Bande-annonce

Presse

  • Après Victoria et Sibyl, Justine Triet imagine le procès d'une héroïne accusée de l'homicide de son mari, dans un film passionnant et limpide.

  • Un très grand film à la fois viscéral et maîtrisé qui allie le suspense d'un film de procès à la profondeur de sa réflexion sur le couple moderne. 

  • Formidable portrait d'une écrivaine que tout accuse de la mort de son mari, Anatomie d'une chute n'est surtout pas un banal film de procès mais le déroulement magnifique d'une page de littérature à la Stefan Sweig. L'un des chocs cinématographiques de cette 76e édition cannoise très justement récompensé par la Palme d'Or.

Générique

  • Réalisatrice

    Justine Triet

  • Scénaristes

    Arthur Harari et Justine Triet

  • Durée

    2h30

  • Pays

    France

  • Date de sortie

    23 août 2023

  • Distributeur

    Le Pacte


Acteurs et actrices

  • Sandra Hüller → Sandra Voyter

    Swann Arlaud → Maître Vincent Renzi

    Milo Machado Graner → Daniel

    Antoine Reinartz → L'avocat général

    Samuel Theis → Samuel Maleski

    Jehnny Beth → Marge Berger

    Saadia Bentaïeb → Maître Nour Boudaoud

    Camille Rutherford → Zoé Solidor

    Anne Rotger → La Présidente du tribunal

    Sophie Fillières → Monica

    Julien Comte → Le légiste


Filmographie

Pour aller plus loin

Entretien avec Justine Triet, réalisatrice

Quel est le point de départ d’Anatomie d’une chute ?

Je souhaitais faire un film sur la défaite d’un couple. L’idée, c’était de raconter la chute d’un corps, de façon technique, d’en faire l’image de la chute du couple, d’une histoire d’amour. 

Ce couple a un fils qui découvre l’histoire de ses parents dans un procès - procès qui dissèque méthodiquement leur relation - et ce garçon passe du stade de l’enfance, incarné par la confiance absolue envers sa mère, à celui du doute. Et le film va regarder ce passage. Dans mes précédents films, les enfants étaient présents, mais n’avaient pas la parole, ils étaient là ; mais on n’avait pas leur point de vue. C’est comme si le moment était venu d’intégrer le regard de l’enfant au récit, de le mettre en balance avec celui de Sandra, le personnage central.