Chien de la casse
Chien de la casse est un film puissant, drôle et dur à la fois.
Bande-annonce















Presse
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Hâbleur, exaspérant, dominateur, pathétique et cultivé, Raphaël Quenard a un rôle en or qu’il parvient à sublimer, face au délicat Anthony Bajon.
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Les deux comédiens principaux, magnifiques, évitent les oppositions dans lesquelles le récit les enferme.
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Comme Les Banshees d'Inisherin, le premier film tendre de Jean-Baptiste Durand traite d'une amitié masculïne mise à rude épreuve.
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Ce premier film doux-amer raconte, avec tact et drôlerie, la survie d’une amitié trop bancale pour être viable entre un garçon qui prend trop de place (Raphaël Quenard, formidable et trouble) et un autre à l’étroit dans son rôle de souffre-douleur (Anthony Bajon en retenue). Un cinéaste à suivre.
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Un premier film insolent et gracieux.
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Jean-Baptiste Durand livre avec son premier long-métrage un film qui possède la vertu rare de sentir davantage le craquant du vécu que la mise en fonction scénaristique et de faire éprouver la réalité originale d'une situation. Un film à la fois drôle et angoissant, aussi bien vu que senti.
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La vraie découverte du film a pour nom Raphaël Quenard, sidérant dans la peau de ce Mirales sans cesse sur le fil, voire au bord du précipice, entre cafard, vantardise et agressivité. Une performance de haut vol…
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Souple et intelligente, l’écriture fait la chasse aux idées vagues et parvient à saisir quelque chose d’un empêchement existentiel qui outrepasse toute lecture sociologisante.
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Ce premier long autour d'une amitié toxique permet de pénétrer des territoires inédits et de porter ses comédiens à un formidable point d'incandescence.