The Fabelmans
Steven Spielberg revisite son enfance et son adolescence, revenant aux sources de sa vocation de cinéaste.
Bande-annonce
























Presse
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Steven Spielberg revisite son enfance et son adolescence, revenant aux sources de sa vocation de cinéaste. Et signe l'un de ses plus beaux films, un récit d’apprentissage plein d’humour et de nostalgie, à la douceur solaire.
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Un opus totalement abouti dans sa modestie, fort d’une justesse constante et d’une virtuosité narrative qui font toute la différence. C’est simple. Et c’est très beau.
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Une synthèse à la fois ingénue et érudite de l’obsession ineffable du réalisateur pour le cinéma, ultime refuge du faiseur de rêves, capable de transcender le réel.
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À l’instar d’Armageddon Time de James Gray, Steven Spielberg se penche sur son enfance et la naissance de sa vocation. Un jeu de miroirs aussi jubilatoire que généreux grâce à une narration d’une fluidité absolue, une interprétation tout en subtilité, une mise en scène qui tutoie l’excellence.
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Une merveille d'émotion, et une fabuleuse déclaration d'amour au cinéma. Avec le talent et la sensibilité qu'on lui connaît, il fait de ces deux heures trente un moment suspendu.
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Avec The Fabelmans, Steven Spielberg signe son film le plus intime. Un récit initiatique autant qu’un hommage vibrant à sa famille et au cinéma. Humaniste et bouleversant.
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Un très grand film.
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Un magnifique récit autobiographique.
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Porté par mille idées de mise en scène et un casting attachant, cette odyssée intime frappe en plein cœur.
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Film-somme - film-source -, explication de texte de l’œuvre de Spielberg, autobiographie à peine déguisée, The Fabelmans est une splendeur.
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Quel film ! On pourrait croire qu’à 76 printemps, Steven Spielberg aurait tout dit et tout montré. The Fabelmans prouve qu’il en a encore sous le capot et pas qu’un peu.
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Il y a plus d’une raison d’être ému aux larmes devant The Fabelmans, qui n’est pourtant pas plus un mélo qu’il n’est suspect de chantage à l’émotion (...) Au soir de sa carrière, Spielberg, comme beaucoup de ses personnages avant lui, rentre à la maison.
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Ce trente-cinquième film est déjà inoubliable.
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The Fabelmans n’est pas tant une œuvre- testament qu’un film matriciel, une autobiographie intime et sensible où Steven Spielberg raconte sa famille, son enfance ballottée de l’Ohio à l’Arizona puis en Californie.
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Le réalisateur star évoque frontalement son enfance, ses parents, sa passion pour le cinéma. Une vraie mise à nu, inédite. Ce faisant, il signe un film universel et bouleversant sur une dislocation familiale. Et sur la puissance révélatrice des images. Magistral.
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Steven Spielberg rend aussi un hommage formidable à John Ford, grand réalisateur de l’âge d’or de Hollywood, figure légendaire du western, rencontré dans sa jeunesse.
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Le trente-quatrième long-métrage du cinéaste américain est l’un de ses plus beaux. Le plus personnel aussi, puisqu’il y retrace son enfance, sa découverte du cinéma et la séparation de ses parents.
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Cette matière intime, Spielberg l’enrobe chaleureusement dans les termes d’un classicisme magnifique, avec un sens du détail saillant et une sensibilité tragi-comique.
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Avec un art du récit et une fluidité imparables, Steven Spielberg, dans cette fiction pudique et émouvante, se revisite comme jamais et offre au spectateur de nombreuses pistes pour mieux comprendre son parcours.
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Voilà la grande leçon truffaldienne – le cinéma comme art du “mensonge organisé”, opposé à la “vérité en vrac”, l’artifice au service de l’émotion – que le film va s’évertuer à appliquer et à mettre en crise, par une dialectique follement poétique.
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On aura rarement vu un tel concentré de lumière et de tristesse mêlées dans un seul film, qui se regarde yeux mouillés et sourire aux lèvres. On savait le cinéma de Spielberg personnel depuis les débuts, mais on n’aurait jamais pu imaginer le degré d’intimité auquel soixante ans de films le mèneraient, capable de livrer ainsi une histoire-monde, simple comme bonjour, pleine de vie, de rebondissements, encapsulant ses souvenirs sans une once de mièvrerie, mais avec une bonne dose de malice.
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Steven Spielberg aura attendu ses 76 ans pour prendre à bras-le-corps les traumatismes de sa jeunesse et la naissance de sa vocation artistique. « The Fabelmans », fiction inspirée, cocasse et émouvante, nous offre de nombreuses clés pour revisiter son œuvre colossale. Bienvenue dans l’intimité d’un grand cinéaste.
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Et puis surtout, comme souvent dans la vie, il faudra s’en remettre à l’expertise de John Ford. Guest-star de l’épilogue et auteur ici d’un cours magistral aussi express qu’anthologique, il révélera au gamin que le cinéma est avant tout un art du déséquilibre et qu’il n’y a bien que les idiots pour placer la ligne d’horizon au milieu du cadre. Et s’il fallait vraiment trouver une morale The Fabelmans ça serait probablement celle-là.
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Malgré le lourd poids sur ses épaules, Gabriel LaBelle brille par son jeu sobre, parfois traversé d’euphorie créative ou d’accès de colère. Entre passion et mélancolie, Michelle Williams et Paul Dano sont d’une justesse épatante, tout comme Seth Rogen, dans un rôle pourtant ingrat mais crucial dans la narration.
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Rarement un cinéaste aura réussi le pari de remonter avec un tel bonheur aux origines de son désir de cinéma, de son goût pour le jeu et la vie en plus grand, plus large, plus modelable.
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Une des plus belles réussites de The Fablemans réside dans la transmission de la passion d’un gosse pour le cinéma. Elle s’étend à la réalisation précoce d’une foule de courts métrages amateurs de plus en plus sophistiqués, montés avec les moyens du bord, inventifs et enthousiastes.
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Dans « The Fabelmans », le cinéaste reprend des anecdotes mille fois racontées, les repeint aux couleurs de la mélancolie, et les livre sur une musique aux petits oignons de John Williams et des images superbes de son chef op, Janusz Kaminski.
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Autour du jeune Gabriel LaBelle, Paul Dano et Michelle Williams livrent une partition subtile dans un film qui laisse toute sa place à l’imaginaire de l’enfance et aux pouvoirs mystérieux des images.
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Steven Spielberg , à 76 ans, fend l’armure : il propose un portrait de ses parents qui évite tout pathos, reste sans cesse arrimé à la joie et la douceur.
Générique
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Réalisateur
Steven Spielberg
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Scénaristes
Steven Spielberg et Tony Kushner
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Durée
2h31
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Pays
Etats-Unis
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Date de sortie
22 février 2023
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Distributeur
Universal Pictures
Acteurs et actrices
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Michelle Williams → Mitzi Fabelman
Paul Dano → Burt Fabelman
Seth Rogen → Bennie Loewy
Gabriel LaBelle → Sammy Fabelman
Mateo Zoryan → Sammy Fabelman, jeune
Keeley Karsten → Natalie Fabelman
Alina Brace → Natalie Fabelman, jeune
Julia Butters → Reggie Fabelman
Birdie Borria → Reggie Fabelman, jeune
Judd Hirsch → Oncle Boris
Sophia Kopera → Lisa Fabelman