Festival

Teen Movie

mercredi 12 mars 2025 à 20:15

TEEN MOVIE
du 12 mars au 6 mai

Un cycle consacré à l’adolescence au cinéma. Son innocence, ses mystères, ses contradictions, sa rebellion, sa fougue... bref l’adolescence dans tous ses états.

 

• du 12 au 18 mars : BEYOND CLUELESS de Charlie Lyne / présenté par Céline Siméon, enseignante en cinéma au Lycée Poincaré mercredi 12 mars à 20h15 / Un documentaire agréable où l’humour pétillant se mêle à un regard critique acéré.

 

• du 19 au 25 mars : LA FUREUR DE VIVRE de Nicholas Ray / James Dean se fait le porte-parole d’une jeunesse révoltée et incomprise, transfigurée par le violent lyrisme de Nicholas Ray.

 

• du 26 mars au 1er avril : LA BOUM de Claude Pinoteau / présenté par Marie-Hélène Testa, enseignante en cinéma au Lycée Poincaré, samedi 29 mars à 20h15 / Une vision douce-amère des amours adolescentes.

 

• du 2 au 8 avril : MOI CHRISTIANE F, 13 ANS, DROGUEE, PROSTITUEE de Uli Edel / Le portrait sans concession d’une jeunesse laissée-pour-compte. Fresque intime au tournant des années 80, le film retentit puissamment pour chaque génération.

 

• du 9 au 15 avril : LES BEAUX GOSSES de Riad Satouff / Séance ciné avec avec roulage de pelle ! C’est important le roulage de pelle. Surtout quand on est en troisième et qu’on essaye d’exister parmi les autres collégiens.

 

• du 16 au 22 avril : SCOTT PILGRILM de Edgar Wright / Petit bijou kitsch et survolté, le film est un bel hommage à la culture geek.

 

• du 23 au 29 avril : VIRGIN SUICIDES de Sofia Coppola / Au médecin qui la sermonne après une première tentative de suicide, la jeune Cecilia répond : « Docteur, vous n’avez jamais été une fille de treize ans ». Cecilia a tout dit… Rarement l’adolescence n’avait été aussi justement représentée au cinéma : la grâce des premières fois, le poids des conventions sociales mais aussi la détresse et le mal-être qu’elle peut engendrer.

 

• du 30 avril au 6 mai : BREAKFAST CLUB de John Hughes / présenté par Henri Larski, enseignant en cinéma, jeudi 1er mai à 20h00 / En conférant au teen movie la forme du huis clos, John Hugues renouvelait radicalement le genre au milieu des années 1980. Dans Breakfast Club, les stéréotypes initiaux, affirmés comme tels – le délinquant, la fille à papa, l’athlète, le surdoué, la détraquée – gagnent rapidement en complexité puis volent en éclats par la circulation de la parole et la libération des corps... La quintessence du film d’adolescents.