Un petit bijou de noirceur et d'humour qui permet de croire encore, un peu, en l'être humain.
Deux personnes solitaires se rencontrent par hasard une nuit à Helsinki et chacun tente de trouver en l’autre son premier, unique et dernier amour. Mais la vie a tendance à mettre des obstacles sur la route de ceux qui cherchent le bonheur.
Épuré, poétique, empreint d'une profonde mélancolie et pourtant traversé de scènes hilarantes, Les feuilles mortes a quelque chose d'intemporel tout en étant profondément ancré dans notre époque – et à contre-courant des standards du cinéma actuel. L'histoire tient en quelques mots : un homme, une femme, un bar, une nuit, une rencontre, un numéro de téléphone perdu, un rendez-vous manqué, une solitude qui n'est plus tout à fait la même car teintée d'espoir... Certes c'est peu, et Kaurismäki l'habille du minimum. Mais c'est l'essentiel, un essentiel conté avec une générosité sans artifices. En sortant de la salle le sourire aux lèvres et le coeur tout embaumé, on se dit que le bonheur réside sans nul doute dans la simplicité...
Bande-annonce
Presse
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Un chef-d'oeuvre mi-cocasse mi-mélancolique qui érige l'amour naissant comme unique antidote à la guerre.
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Dans le style inimitable et si personnel qu’on lui connaît, Kaurismäki dresse le portrait caustique, tendre et bourré d’humour, des classes populaires en Finlande, dans un contexte d’inflation et de guerre d’Ukraine. Un très joli moment de cinéma.
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Petit bijou chaplinien, le nouveau film tragi-comique du réalisateur finlandais explore l’amour comme dernier refuge.
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Le film nous fait autant rire qu'il nous émeut.
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Au royaume de l’humour pince-sans-rire, le rapport est stupéfiant entre la profondeur de la mélancolie et la drôlerie irrésistible que le cinéaste parvient à y puiser.
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Kaurismäki signe un beau mélo intemporel.
